Rapport annuel 2021 de CIWA
Au milieu de la pandémie mondiale, le travail de CIWA pour assurer l'accès à l'eau pour soutenir les vies, accroître la paix et la prospérité et améliorer la résilience en Afrique subsaharienne est plus important que jamais.
Coopération dans le domaine de l'eau dans la Corne de l'Afrique : s'attaquer aux facteurs de conflit et renforcer la résilience (en anglais)
Ce rapport conjoint SIPRI-CIWA vise à aider à combler cette lacune de la recherche en explorant le rôle des initiatives de coopération au niveau local dans l'amélioration des défis liés aux ressources en eau dans la Corne de l'Afrique. Le rapport s'appuie sur trois études de cas illustratives de bassins transfrontaliers dans des régions transfrontalières : le bassin Sio-Malaba-Malakishi ; la rivière Dawa et l'aquifère ; et le bassin de Bahr el Ghazal et l'aquifère du bassin de Baggara. Ce faisant, il fournit les enseignements tirés des initiatives de coopération existantes. (En anglais)
CIWA À 10 ANS
Depuis 10 ans, CIWA favorise la coopération sur les eaux transfrontalières, renforce la gestion des ressources en eau, contribue à la protection de la biodiversité, aide les pays en proie à des situations de conflit et de fragilité et encourage la résilience face au climat en Afrique subsaharienne. (Rapport aussi disponible en anglais)
Rapport annuel 2021 de CIWA (en anglais)
Au milieu de la pandémie mondiale, le travail de CIWA pour assurer l'accès à l'eau pour soutenir les vies, accroître la paix et la prospérité et améliorer la résilience en Afrique subsaharienne est plus important que jamais.
Engagement de la Banque mondiale dans les eaux transfrontalières en Afrique de l'Ouest : rétrospective et leçons tirées (en anglais)
Ce document examine l'engagement de la Banque mondiale dans les eaux transfrontalières en Afrique de l'Ouest (en particulier le bassin du Sénégal, le bassin du Niger, le bassin de la Volta et le bassin du lac Tchad) au cours des vingt dernières années et en tire des enseignements qui peuvent éclairer l'engagement futur dans la région et le secteur.
Profile de résilence à la sécheresse de la région SADC (en anglais)
Ce profil de résilience à la sécheresse pour la région SADC fournit un aperçu de la situation de la sécheresse dans chaque pays, telle qu'évaluée par l'approche d'organisation de SADRI, qui repose sur le cadre de gestion intégrée des risques de sécheresse : 1) systèmes de surveillance et d'alerte précoce ; 2) évaluation de la vulnérabilité et de l'impact ; et 3) atténuation, préparation et réponse. Ce Profil et les 16 autres consacrés à l'Île Maurice, Madagascar, les Seychelles, Malawi, les Comores, Zimbabwe, Mozambique, Tanzanie, Zambie, RDC, Angola, Botswana, Afrique du Sud, Lesotho, Namibie et Eswatini sont destinés à établir une base de référence et à servir d'amorce de conversation pour savoir où et comment passer d'une gestion réactive à une gestion proactive de la sécheresse.
L'histoire du Nil : 15 ans de coopération sur le Nil – Avoir un impact
L'histoire du Nil est l'un des immenses défis et des réalisations remarquables pour le développement économique de la région. Elle commence en 1999, lorsque les ministres en charge des affaires de l'eau dans les pays du Nil ont convenu de former la Nile Basin Initiative (NBI). Entre 2003 et 2015, le Nile Basin Trust Fund (NBTF) a soutenu et coordonné le travail coopératif dans la région, qui a été réalisé principalement par le biais du NBI. Ce livre, commandé par la Banque mondiale sur la fermeture de la NBTF, présente quelques aperçus de cette histoire de 15 ans, du rôle de la NBI et de la manière dont ses nombreuses réalisations ont été réalisées en cours de route.
Profil de résistance à la sécheresse, Maurice
Ce profil de résilience à la sécheresse pour l'île Maurice donne un aperçu de la situation de la sécheresse dans chaque pays, telle qu'elle est évaluée par l'approche organisationnelle de SADRI, qui repose sur le cadre de gestion intégrée des risques de sécheresse : 1) surveillance et systèmes d'alerte précoce ; 2) évaluation de la vulnérabilité et de l'impact ; et 3) atténuation, préparation et réponse. Ce profil et les 15 autres consacrés à Madagascar, aux Seychelles, au Malawi, aux Comores, au Zimbabwe, au Mozambique, à la Tanzanie, à la Zambie, à la RDC, à l'Angola, au Botswana, à l'Afrique du Sud, au Lesotho, à la Namibie et à l'Eswatini ont pour but d'établir une base de référence et de servir d'amorce de conversation pour savoir où et comment passer d'une gestion réactive de la sécheresse à une gestion proactive de la sécheresse.
Profil de résistance à la sécheresse, Malawi
Ce profil de résilience à la sécheresse pour le Malawi donne un aperçu de la situation de la sécheresse dans chaque pays, telle qu'elle est évaluée par l'approche organisationnelle de SADRI, qui repose sur le cadre de gestion intégrée des risques de sécheresse : 1) surveillance et systèmes d'alerte précoce ; 2) évaluation de la vulnérabilité et de l'impact ; et 3) atténuation, préparation et réponse. Ce profil et les 15 autres consacrés à Madagascar, aux Seychelles, aux Comores, à Maurice, au Zimbabwe, au Mozambique, à la Tanzanie, à la Zambie, à la RDC, à l'Angola, au Botswana, à l'Afrique du Sud, au Lesotho, à la Namibie et à l'Eswatini ont pour but d'établir une base de référence et de servir d'amorce de conversation pour savoir où et comment passer d'une gestion réactive à une gestion proactive de la sécheresse.
Profil de résistance à la sécheresse, Seychelles
Ce profil de résilience à la sécheresse pour les Seychelles donne un aperçu de la situation de la sécheresse dans chaque pays, telle qu'elle est évaluée par l'approche organisationnelle de SADRI, qui repose sur le cadre de gestion intégrée des risques de sécheresse : 1) surveillance et systèmes d'alerte précoce ; 2) évaluation de la vulnérabilité et de l'impact ; et 3) atténuation, préparation et réponse. Ce profil et les 15 autres consacrés à Madagascar, aux Comores, au Malawi, à Maurice, au Zimbabwe, au Mozambique, à la Tanzanie, à la Zambie, à la RDC, à l'Angola, au Botswana, à l'Afrique du Sud, au Lesotho, à la Namibie et à l'Eswatini ont pour but d'établir une base de référence et de servir d'amorce de conversation pour savoir où et comment passer d'une gestion réactive de la sécheresse à une gestion proactive de la sécheresse.